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chroniques de CD, DVD

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Latest Reviews L’actu des chroniques

Romane – Intégrale Romane – Volume 1 / Swing for Ninine

Editeur de déjà bon nombre d’Intégrales dont celles de Django Reinhardt, Louis Armstrong, Charlie Parker, Henri Salvador, Charles Trenet, Yves Montand, Nathalia Jackson, Sister Rosetta Tharpe, Claude Bolling et j’en passe, il était légitime que le recensement et la rediffusion des œuvres de ce musicien prodigue qu’est Romane reviennent à la maison spécialiste en intégrales de grande qualité, Frémeaux & Associés.

The Dallas Explosion – Off The War

Ne vous laissez pas leurrer par les photographies qui accompagnent l’album! Il ne s’agit pas d’Eclaireurs autour d’un feu de camp ou de Scouts singeant je ne sais quels héros de western de douzième catégorie, car c’est de Rock qu’il s’agit. Et de très bon rock! Du coup, les paroles des morceaux joués à un rythme soutenu n’ont rien à voir avec les lectures habituelles des soirées autour du feu des Aiglons d’antan.

ZEM – Freedom Machine

Un album qui s’écoute sur le plan émotionnel, d’abord, puis avec les oreilles. Avec cette atmosphère bien particulière qui nous embarque dans un univers bien spécifique. Michael Zemour alias ZEM, s’est entouré de Johan Barrer à la batterie, de Boris Rosenfeld à la guitare, de son frère François Rosenfeld à la basse et de Victor Suire aux claviers, formant un groupe qui avait surgi dans l’univers du rock français en 2005 avec la sortie d’un premier

Mr Hardearly & the Blues Thangs Orchestra – Nuit du Blues

Ce fut le 4 décembre 2010, à la Maison Loisirs & Culture de Montmorency, que se déroula cette première ‘Nuit du Blues’ en compagnie de Mr Hardearly & the Blues Thangs Orchestra. Il y a des instants forts en émotions, des instants ‘live’ magiques, des instants que l’on ne peut garder pour soi car l’on a cette envie irrésistible de tout faire partager.

Samantha Fish, Cassie Taylor, Dani Wilde – Girls With Guitars

Un opus qui démarre très fort avec un titre des Rolling Stones, ‘Bitch’, qui nous fait découvrir l’association de trois jeunes (et jolies) musiciennes: Samantha Fish, vingt et un ans, native de Kansas City, Dani Wilde, originaire de Brighton, et déjà deux galettes à son actif, et Cassie Taylor, la bassiste émérite de son père, Otis Taylor, avec lequel elle a déjà enregistré huit albums, sans parler de sa contribution vocale sur l’album de Gary Moore

Mehran – Je vis ma vie

Incontestablement, le mec a une belle voix, de celles qui font plier l’acier, déchirer les nuages les plus noirs, briller les étoiles en plein jour. Et cela va en énerver pas mal, car sur les quatre titres de cet EP-CD, le garçon se balade avec une facilité indécente, comme si les hits de demain ne pouvaient être signés que par lui.

Magic Buck – Love & Light

Sorti le 1er janvier 2011 à 0h00, très exactement, ce nouvel album de Magic Buck est donc le premier album sorti en 2011, toutes catégories confondues. Enregistré dans le même studio que son prédécesseur, ‘Thankful’, sorti il y a trois ans, cet opus concrétise le chemin parcouru depuis. Et comme pour mieux marquer le changement de cap retenu, trois invités sont venus participer à quelques-uns des treize nouveaux morceaux proposés sur cet album

Lucky Lindy – The Greatest Aviators

Nous avions entendu cette formation pour la première fois en live, lors du Fallenfest 2009 (ou 2010 ???) et ce fut, il faut bien l’avouer, la grosse, très grosse claque. Non seulement les quatre garçons proposaient des compos intéressantes avec arrangements recherchés, mais en plus ils avaient ‘le’ truc en live qui rend un groupe unique, original et performant. Avec leurs lunettes et casques d’aviateurs, leur imper et longue écharpe à la

King Automatic – In the blue corner

Non, King Automatic n’est pas le nom d’une reformation d’un groupe des années 70 ou 80, ni celui d’un combo orienté vers la musiques électro. King Automatic est tout simplement le nom de scène d’un solitaire qui se débrouille pour tout faire lui-même, aussi bien en studio que sur scène. Et pour l’avoir vu au dernier Festival Blues sur Seine, je peux vous assurer que ça dégage, et bien comme il faut, car indiscutablement, ce que le lascar propose

Neal Black & The Healers – Sometimes The Truth

Dès les toutes premières notes du premier titre, ‘New York City Blues’, on sent, on sait déjà que cet album va survoler bon nombre de galettes écoutées depuis des mois. Dès les premières notes de guitare on est plongé dans une ambiance moite dans laquelle l’harmo de Nico Wayne Toussaint semble émerger du brouillard. La voix rayée de Neal Black et sur laquelle traînent des tonnes de graviers, vous file d’entrée le gros frisson, à la manière

Hundred Seventy Split – The World Won’t Stop

Contrairement à la classique formule du power trio, ici ils ne sont que deux, et ils s’adjoignent ponctuellement quelques musiciens en renfort, comme Sean Fuller ou Tanner Jacobsen à la batterie, ou encore Billy Livsey ou Rob Stennett à l’orgue Hammond. Mais qui est donc cette fameuse paire de zykos dont les noms sont, je peux déjà vous le dire, très connus des aficionados de rock bleuté et de blues plutôt rocky.

Calvin Russell – Contrabendo

Et voilà que surgit en ce début d’année prolixe en albums de qualité (Elliott Murphy, Sofaï, Neal Black, Pat McManus,…), ce coffret collector proposant deux CD et un DVD de deux concerts de ‘Monsieur’ Calvin Russell. Il n’y a pas si longtemps que ça, le lascar avait du stopper sa tournée et l’on attend encore et toujours des nouvelles rassurantes, en lui souhaitant le meilleur rétablissement possible…, même si, je l’avoue, la sortie de ce sublime

Francois Tusques plays Cortazar – Octaedre

L’écoute d’un disque estampillé Frémeaux & Associés n’est jamais quelque chose d’anodin, bien au contraire, car ce sont toujours plusieurs registres émotionnels qui sont sollicités. Au simple bonheur de l’écoute musicale viennent s’ajouter le plaisir de l’acquisition de nouvelles connaissances de l’Histoire d’un genre musical particulier et le sentiment d’appartenance à une caste qui ne se contente pas de consommer des disques les uns après

Elliott Murphy – Elliott Murphy

Et voilà un opus qui non seulement vous fiche une grande claque, mais qui, en plus, vous fait chaud au cœur. Le genre d’album qui vous touche à tel point que vous ne savez plus trop si ce sont les textes qui vous font vibrer ou la musique qui vous fait frissonner, ou les deux à la fois. Et l’album vous touche aussi parce qu’il souligne encore une fois l’immense talent d’un artiste qui aurait mérité une carrière internationale de la dimension de celles de

Francis Loockwood – Roundabout Bach

Il faut dire que Monsieur et Madame Loockwood ont de quoi être fier de leurs rejetons. Entre l’aîné, Francis, virtuose du clavier, et le plus jeune, Didier, passé prodige du violon, les soirées en famille ne devaient pas être tristes, le père, instituteur et professeur de violon, et la mère, peintre amateur, ayant incontestablement réussi à transmettre l’amour et l’intérêt pour les ‘belles’ choses à leurs enfants.

Ray Charles – Ray, rare genius – The undiscovered Masters

La tache incombant à John Burk était GIGANTESQUE…! Extraire de l’immense catalogue encore inexploré du Genius les joyaux qui devaient constituer l’ultime compilation! Tout en donnant de la cohérence à l’ensemble. Et je dois reconnaître que l’écoute a de quoi combler les plus récalcitrants à toute forme d’hommages constitués de titres ressortis bien après la disparition d’un artiste.

Tamara & Lucky Peterson – Darling Forever

Il faut bien avouer que l’idéal, lorsque l’on forme un couple, est de ne pas se borner aux seules taches ménagères. Partager des projets ou avoir une vision commune à propos de certaines choses fait partie de l’idéal de pas mal de couples en ce bas monde, bien qu’il ne s’agisse pas pour moi de refaire ici même l’apologie de la ‘Sainte Famille’.

Chicago Blues, A Living History – The (R)evolution Continues

Le premier double album était presque monté jusqu’au firmament du Blues. Nominé à l’IBC de Memphis, l’opus paru en février 2009 avait failli atteindre le sommet et se voir attribuer le très convoité Award de meilleur album de Blues.

Red Man – 2 Amour

Après ses ‘Bleus démons’, Stéphane Gaudoin, aka Red Man, nous revient en force avec ce nouvel album, ‘2 Amour’, en duo ambiance électro-acoustique avec à la contrebasse Marie ‘Tymaï’ Polinari, sa compagne à la vie comme à la scène. Concept certes différent du premier opus, mais le bonhomme n’a pas changé, avec toujours cette voix éraillée, râpée et usée au papier de verre gros grains, cette conjugaison du verbe haut en couleurs et en poésie

The Hub – A sleepless night

Quand fin 2009, Hubert#06, le one man blues band qui venait de remporter le prix électro acoustique du Tremplin de Blues sur Seine, croisa la route de Yarol Poupaud, il était à des miles et des miles de se douter de ce que cette rencontre-étincelle allait déclencher comme explosion dans le blues de l’hexagone.

Fred Chapellier – 2000-2005 – The french years

Le pari était risqué: faire du neuf avec du vieux, mais nouveau sans faute pour Fred Chapellier qui nous propose un album construit à partir de chansons extraites de deux albums, ‘Blues Devil’ sorti en 2003 et ‘L’œil du Blues’ en 2005, et pour lequel le grand Fred a réenregistré toutes les partie vocales et ses guitares.

Journal Intime joue Jimi Hendrix – Lips on Fire

Pour qui comme moi a joué du Jimi Hendrix, oser toucher à sa musique, à un de ses titres, peut s’avérer un risque de conflit nucléaire tant le Dieu de la six cordes est, et demeure intouchable. Ce fut donc, faut vous l’avouer, avec une retenue énorme que j’ai glissé cette galette dans mon lecteur, mais la pochette, psyché et en phase avec le Voodoo Chile, m’a convaincu. Faut écouter. Et j’ai écouté.

The Suitcase Brothers – Walk on

Mine de rien, ces lascars sont dangereux. Non pas lorsque vous les croiserez dans la rue, dans un juke joint ou une salle de concert, mais lorsqu’ils se présenteront sur la scène du premier ‘European Blues Challenge’ organisé en mars prochain à Berlin par l’EBU (la ‘European Blues Union’).

Philippe Grancher and His G-Men – Rock’n’Roll

Vous avez dit ‘Rock’n’Roll, Mister Philippe Grancher, pour ainsi baptiser votre nouvel album. Mais comme vous prêchez bien le blues! C’est à un pèlerinage que vous nous conviez, dédié à la mémoire de Fenton Robinson et d’Andrew Brown, en compagnie de vos fidèles G-Men que sont Mike Ravassat aux guitares, Yannick Laguide à la basse et Clément Duventru à la batterie.

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