Reviews

chroniques de CD, DVD

Lire

Marks
Les notes

AVERAGE / MOYEN

GOOD / BON

VERY GOOD / TRES BON

GREAT / COUP DE COEUR

A MUST / INDISPENSABLE

Latest Reviews L’actu des chroniques

Asylum Pyre – Fifty Years Later

Asylum Pyre est un quintet parisien de Metal écologiste à chanteuse qui semble avoir perdu ses illusions. Ce qui était en germe sur l'autoproduit 'Natural Instinct?' (2009) bourgeonne sur 'Fifty Years Later': dans un futur qu'on espère fictif, l'homme a fini par anéantir la nature

Amplifier – Echo Street

S’il est une carrière qui a bien failli être tuée dans l’oeuf à cause du délitement de l’industrie du disque, c’est bien celle d’Amplifier. Jugez plutôt: Music For Nations sort le premier album éponyme des mancuniens en 2004 avant d’être phagocyté par Sony/BMG. SPV sort ‘Insider’ en 2006 et dépose le bilan en 2009

Allison / Burnside – Express

Enorme coup dans le bide que cette rencontre musicale entre deux géants du Blues: le digne rejeton de Luther Allison, Bernard à la guitare et au chant, et le non moins digne rejeton de R.L. Burnside, Cedric, au chant, de temps à autre à la batterie et occasionnellement à la guitare, car il en joue également, le bougre

Buzztown – Wherever You Hide

Le quatuor nous propose 14 titres sur son nouvel album. Hugues Renault est aux guitares, Mike Chailloux au chant, Benjamin Jouet à la batterie et aux percussions et Anthony Billaud est aux basses, simple et double. C’est le guitariste et le reste de la formation qui ont composé ces quatorze morceaux et quelques invités représentatifs de la fine fleur des musiciens blues français sont passés donner un petit coup de main

Chuck Leavell – Back To The Woods

Chuck Leavell, pianiste et claviériste que l’on croisa avec les Allman Brothers Band, Sea Level, The Rolling Stones, Eric Clapton, Gov’t Mule ou John Mayer, rend ici hommage aux pionniers du piano blues. Ils ont pour nom Leroy Carr, Little Brother Montgomery, Otis Spann, Ray Charles, Memphis Slim, Charlie Spand, Barrelhouse Buck McFarland, Jesse James, Skip James et Leona Mannoni

Dallas Frasca – Sound Painters

Le trio est certes une forme classique dans le Power Blues, mais ce qui est moins habituel est que la guitare soit tenue par la femme qui chante également dans le groupe. L’Australienne Dallas Fresca est au chant et à la guitare, tandis que Jeff Curran se préoccupe de la deuxième guitare et que Pete Mcdonald s’affaire à la batterie

Dana Fuchs – Bliss Avenue

Après deux albums studio de grande qualité, ‘Love To Beg’ et ‘Lonely For A Lifetime’ puis d’un Live mémorable, ‘Almost Home’, voilà que la jeune et jolie jeune femme native de Floride nous gratifie d’un troisième album qui mérite pleinement de figurer dans les annales du Blues tant l’énergie qui en émane est incandescente

Elliott Murphy – It Takes A Worried Man

Tout commence par la reprise d’un traditionnel qui donne son titre à l’album, mais dès le second morceau, c’est bien la marque du génial musicien et songwriter qui se reconnait entre mille. La famille est à nouveau réunie autour de lui: son fils Gaspard, qui produit l’album mais utilise également toutes sortes de claviers, percussions, chante et joue de la guitare acoustique ou électrique, le trio des Normandy All Stars avec Olivier Durand

Elmore D – Back To Hesta

‘Retour à Hesta’, la ville natale d’Elmore D, est un recueil de Blues qui allie classicisme et modernité radicale. L’ouvrage est en effet des plus classiques, en cela que les reprises sont signées Bumble Bee Slim, Big Bill Broonzy, Tampa Red, Wasboard Sam, Walter Davis, Jazz Gillum, Buddy Woods, Larry Williams ou Leroy Carr, en même temps qu’il est résolument moderne puisque les morceaux sont tous chantés et interprétés en dialecte wallon!

The Computers – Love Triangles Hate Squares

Toute la fraicheur d’un jeune groupe de British Rock’n’roll Garage vous explose à la tête des que les premières notes jouées par cette formation envahissent votre espace sonore habituel. Vieille de deux ans, cette formation originaire d’Exceter, Devon, tourne en ce moment de manière frénétique à travers toute l’Europe. Plus de 25 dates en Hollande, Royaume Uni, Allemagne, République Tchèque ou Italie et la France

Marcus and The Music – Catch 22

Ce disque est la magnifique démonstration vivante de ce que la Pop contemporaine peut être! En l’écoutant j’ai immédiatement pensé à une formation comme Yes, tant l’écriture musicale présente des similitudes avec la formation britannique, sans parler de la manière de chanter de Marcus Linon qui présente des analogies avec celle de Jon Anderson

Francis Lockwood – Nostalgia

Etrange paradoxe que celui qui consiste à commenter en 2013 un album sorti en 1988, et au titre si criant de vérité, Nostalgia! C’est pourtant ce que j’assume avec un très grand plaisir, car c’est le producteur japonais Toshi Tsushima qui a demandé à Didier Lockwood et Jean-Michel Kadjan qu’ils acceptent de ressortir cet album 25 ans après

Rhoda Scott, Aurore Voilqué, Julie Saury, Siegfried Mandacé – Djangolized

Comme le titre de l’ouvrage l’indique, c’est dans la musique de Django Reinhardt que nous allons plonger. Même si sur les onze titres proposés ici, six seulement soient de lui puisque ‘Le soir’ est de Loulou Gaste, ‘Songe d’été’ de A. Joyce et ‘Blue Drag’ de J. Mirrow, ‘Manoir de mes rêves’ est de D. Reinhardt et A. Vikouloff et ‘September Song’ de Weill et A. Vikouloff.

Michael Schenker – Temple Of Rock / Live In Europe

Le présent coffret, indispensable dans sa version 2 CD/1 BR/1 DVD numérotée, s’articule autour du concert historique donné au 013 de Tilburg, le 13/05/12. Outre le passe-partout Doogie White au chant et l’ultra-compétent Wayne Findley aux claviers, on retrouve trois ex-Scorpions sur scène.

The Amity Affliction – Chasing Ghosts

S’il n’avait pas débuté sa course en pole position des charts au pays des kangourous, Chasing Ghosts, le troisième album de The Amity Affliction, n’aurait sans doute pas piqué notre curiosité. Certes, le son du quartet australien estampillé Metalcore/post-Hardcore est absolument fabuleux: l’enregistrement à Orlando, Floride, chez Michael Baskette est plus qu’amorti.

The CNK & Snowy Shaw – Révisionnisme

Pendant l’âge d’or du vinyle, la pochette pouvait justifier à elle seule l’achat d’un disque. Depuis, l’oeil du chaland n’a que trop peu eu l’occasion d’être accroché par un packaging de CD. Mais la re-sacralisation du support musical physique est en marche: The Cosa Nostra Klub (starring l’ex-Therion Snowy Shaw) marque son retour aux affaires avec onze reprises sur rondelle noire clipsée dans un écrin cartonné A5 aux inserts brillants

The Royal Philharmonic Orchestra – Plays The Music Of Rush

En terme de relecture symphonique de répertoires Pop/Rock, le Royal Philharmonic Orchestra de Londres n’en est pas à son coup d’essai…, et de maître. Après Queen, Pink Floyd et Abba, les 50 musiciens et 15 choristes, sous la baguette de Richard Harvey (Gryphon), rendent hommage au géant du Prog’ canadien Rush

Vandroya – One

Ceci est une révélation. La jeune vocaliste Daisa Munhoz, encore chrysalide dans le dernier opéra-Rock brésilien d’Heleno Vale (‘Soulspell’), s’est muée en papillon au sein de Vandroya. Le groupe, co-piloté par le guitariste Marco Lambert qui produit et signe huit des dix titres, sort son premier album en forme d’hommage à Angra (‘The Last Free Land’) et Symphony X (‘No Oblivion For Eternity’)

Veracrash – My Brother The Godhead

On ne peut que se féliciter de la montée en puissance de Go Down Records, activiste underground italien depuis 2006, au lendemain de la publication du ‘Live At The Sitro Club’ de Karma To Burn. Aussi, le moment est tout indiqué pour nous plonger dans le coeur de son catalogue avec le second album des Milanais de Veracrash

Gamma Ray – Skeletons & Majesties Live (2 DVD)

Après Stratovarius et son hommage au démissionnaire Jörg Michael, Gamma Ray immortalise en image sa dernière tournée avec son König de la double pédale Daniel Zimmermann. Le témoignage prend la forme d'un double DVD dont le premier est consacré au show du Z7 de Pratteln en Suisse (29/04/11)

Bernard Allison Group – Live at the Jazzhaus

Comme le titre l’indique, c’est d’une prestation Live dont il est question ici, avec comme mise en bouche un premier morceau signé par Bernard Allison lui-même, un instrumental à l’image du leader du groupe, énergique et en pleine forme. Cela a eu lieu à Freiburg en novembre 2010 et la prestation existe même en film et donc en DVD.

Bootleggers – Heart of Dixie

Il ne s’agit ni de contrebandiers ni de vendeurs d’alcool frelaté. Ce sont plutôt des musiciens qui reprennent des compositions d’autres artistes. Mais en aucun cas il ne s’agit non plus de disque pirate puisque le label Dixiefrog a pignon sur rue! Disons que c’est une appellation que les musiciens se sont appropriés, les quatre purs produits de l’hexagone aimant le Rock du Sud des Etats-Unis et ne s’en cachant pas! Tout dans leur tenue vestimentaire l’atteste

Boz Scaggs – Memphis

Les deux guitares visibles sur la cover de l’album sont une Fender Stratocaster et une Fender Télécaster. Cela force le respect et annonce de bonnes choses en perspective. Au verso de la pochette, trois musiciens sont indiqués qui, pouvons-nous penser, jouent avec le Boz en question

Billy Price – Strong

Puisqu’il s’agit vraiment d’une cathédrale musicale, je me dois tout d’abord de vous nommer les protagonistes de l’ouvrage. Le Billy Price Band se compose de David Ray Dodd aux percussions et à la batterie, de Steve Delach à la guitare, de Jasonn Hollar à la basse, de Jimmy Britton aux claviers, d’Eric DeFade au sax ténor, de Joe Herndon à la trompette et de Bob Matchett au trombone

REVIEWS ARCHIVE