Dirty Streets – White Horse

Rock
Ce qu’il y a d’étonnant avec les années 70, c’est qu’on dirait qu’elles ne se sont jamais vraiment achevées. Je veux dire qu’en dépit des coups de boutoir que lui assénèrent le punk, le disco et toutes les vagues qui le vouèrent aux gémonies, le heavy-rock qui prédominait au début des seventies n’en finit pas de renaître sous l’égide de générations qui ne connurent pourtant pas la Woodstock

Supersonic Blues Machine – West Of Flushing, South Of Frisco

Rock
Qui de nos jours se souvient de Felix Pappalardi? Ce fils d’immigrés ritals à New-York produisit pourtant le “Wheels Of Fire” de Cream, avant de co-fonder Mountain avec Leslie West, tout en poursuivant une carrière de producteur plaqué or. Si ce brave Felix n’avait été abattu par sa légitime à l’âge précoce de 43 ans

Tremplin Rock The Choice

Belle soirée découverte en perspective ce 23 janvier 2016, car le Secteur Musiques Amplifiées (SMA) de Montigny le Bretonneux (78) organise son troisième Tremplin Rock ‘The Choice’. Le SMA regroupe différents espaces dédiés à l’univers musical et a pour mission de promouvoir et d’accompagner dans leur création artistique des groupes amateurs ou en voie de professionnalisation, mettant à leur disposition deux studios de répétitions, un studio d’enregistrement ainsi que deux salles de concert.

Geoff Tate au Forum de Vauréal

C’est avec beaucoup d’émotions que je reprends la route des salles de concerts, et je voudrais ici rendre hommage à tous ceux qui ont souffert et souffrent encore de la barbarie terroriste du 13 novembre 2015.

Dream Theater – Dream Theater

Rock
Si ‘A Dramatic Turn Of Events’ (2011) s’est seulement révélé excellent, ce douzième album studio homonyme tutoie la perfection. L’inspiration est revenue au niveau des prouesses techniques: au plus haut des cieux. ‘False Awakening Suite’, orchestral et pompeux au sens mélioratif, renouvelle l’exercice de style ébauché sur ‘Six Degrees Of Inner Turbulence’ (2002): l’opéra Rock…

The Who – Live In Hyde Park

Rock
“Hope I Die Before I Get Old”… Mission accomplie à 50 %: les WHO – ou du moins ce qu’il en reste – célèbrent cette année leur demi-siècle. Les survivants (excusez du peu) demeurent ce guitariste désormais sosie de Jean-Pierre Marielle, et cet éternel nabot à (belle) gueule de prolo. Lors de sa reformation de 2007 à l’O2, Led Zep avait remplacé son défunt batteur par le propre rejeton de ce dernier.

The Who – Live In Hyde Park

Rock
“Hope I Die Before I Get Old”… Mission accomplie à 50 %: les WHO – ou du moins ce qu’il en reste – célèbrent cette année leur demi-siècle. Les survivants (excusez du peu) demeurent ce guitariste désormais sosie de Jean-Pierre Marielle, et cet éternel nabot à (belle) gueule de prolo. Lors de sa reformation de 2007 à l’O2, Led Zep avait remplacé son défunt batteur par le propre rejeton de ce dernier.

Wild Child – The Next Decline

Rock
France, début des années 80. Ici comme ailleurs, le punk a fait long feu. Partout se pavanent ceux qu’Actuel appelle alors “les jeunes gens modernes”. Du genre à aimer tellement leur maman qu’ils n’osent pas lui infliger de rentrer décoiffés. Dans des costards cintrés, ils pianotent à deux doigts des Casio avec boîte à rythme intégrée. C’est l’heure de Taxi-Girl, Marquis de Sade et autres Marie et les Glaçons.

The Jam – About The Young Idea (DVD)

Rock
En 1982, the Jam vient d’être sacré pour la troisième année consécutive meilleur groupe d’Angleterre par les lecteurs du New Musical Express. Ce qui n’empêche nullement leur leader (et principal compositeur), Paul Weller (24 ans au moment des faits) d’annoncer simultanément son départ, et la fin du groupe.

Children of Bodom et Sylosis

Le Bataclan est à moitié plein, ce vendredi soir, et j’en suis tout surpris car il y a peu de temps encore le groupe avait rempli le Zénith de Paris. Ceci dit, trois facteurs récurant y sont sans doute pour quelque chose: pas mal de groupes sont présents sur Paris en même temps et à cette période, les Pass pour les grands festivals en Europe sont mis en vente dans cette même période et, enfin, il faut bien le dire aussi, le porte-monnaie des métaleux n’est pas si élastique que ça, n’en déplaise aux agents et bookers.

Burning Britain – Seconde Vague Punk Britannique

Rock
J’étais à Londres en juin 77. J’avais pile 18 ans, et j’étais venu visiter la Roundhouse de Chalk Farm Road, l’un des berceaux du pub-rock, auquel Dr. Feelgood venait de me convertir. Au 100 Club d’Oxford Street, j’ai vu les Clash flanqués d’un batteur aussi pathétique qu’anonyme, les Damned en plein numéro de cancres, et aussi Jam, les seuls qui m’aient alors réellement impressionné.

Julia Holter – Have You In My Wilderness

Rock
Immersion totale! Pour son quatrième album en huit ans, Julia Holter tutoie les sommets de la pop orchestrale. Pour résolument moderne que son propos demeure, elle n’en rejoint pas moins ici de grandes oeuvres telles que le “Pacific Ocean Blue” de Dennis Wilson ou encore “The Dreaming” de Kate Bush. Entre Mercury Rev, Burt Bacharach et Jacco Gardner, “Have You In My Wilderness” s’avère un trip vertigineux, un maëlstrom mélodique et romantique

Tony Melvil – Plein Jour

Rock
Jamais deux sans trois. Si l’EP 7 titres semble décidément son format de croisière, voici donc déjà son troisième en trois ans. Et si l’on commence certes à se familiariser avec son univers aigre-doux, on ne cesse cependant d’être tour à tour ébloui et dérangé par le brio du bonhomme.

Aerosmith – Rocks Donington 2014

Rock
On dira ce qu’on voudra d’Aerosmith, dont les deux leaders se dissolurent tant dans la poudre qu’il leur fallut une escouade de songwriters pour les sortir du coma. Et même que leur chanteur ne serait qu’une parodie de Mick Jagger, bla, bla, bla… Au vu des premières minutes de ce DVD dans les coulisses du Donington 2014, on pourrait certes craindre que ces lascars aient finalement cédé à la menace qui les poursuit depuis toujours

Die Krupps au Divan du Monde

Les aryens sont de passage à Paris à l’occasion de la sortie de leur nouvel album V – Metal Machine Music, mais pas évident du tout de couvrir une soirée avec Die Krupps en tête d’affiche car le ‘fan club’ est bien présent, surtout devant la scène, et il est très difficile pour moi de vous ramener des images avec un public qui n’hésite pas à ‘dégager’ les quelques photographes accrédités.

Kobra and the Lotus / Gus G / Kamelot

Soirée basée sur le heavy metal pour nous, ce soir, à La Cigale, avec à l’affiche trois groupes très intéressants: Kobra and the Lotus, Gus G et Kamelot. Arrivé dans l’après-midi sur Paris je remarque que le fan club Kamelot est déjà bien présent sur les trottoirs des rues qui jouxtent la Cigale.

Prince – Hit-N-Run

Rock
Voilà un artiste qui n’a plus rien à prouver à personne. R&B, Funk, Électro, tous les ingrédients sont ici réunis pour que le nouvel opus du Kid de Minnéapolis, Hit-N-Run, apparaisse bien comme la quarante et unième pièce (studio) du puzzle nécessaire à la construction finale de l’oeuvre, toujours inachevée et donc qui promet des lendemains encore meilleurs.

Race Records 1942-1955 – Frémeaux & Associés

Rock
“Si je pouvais trouver un Blanc qui sache chanter comme un Noir, je me ferais un million de dollars” – Sam Phillips, 1953. Si l’on peut discuter du sens des affaires du lascar (qui revendit finalement Elvis à RCA pour “seulement” 35.000 euros), on ne peut cependant lui dénier une certaine oreille. Car, en effet, quand les Blancs n’avaient d’équivalents pour se trémousser que Glenn Miller, Merle Travis, Bob Wills et Hank Williams, les frangins Noirs alignaient, eux, des divisions entières, se déclinant selon les blazes

Audrey Horne –Dead Lord – Dead City Ruins

On est samedi soir et pourtant la salle a un peu de mal à se remplir, sans doute parce les metaleux n’ont eu que l’embarras du choix ces derniers temps, et qu’à un moment donné, pour beaucoup, il y a un choix à faire, si on ne veut pas vivre quelques désagréments avec sa banque… Ceci dit, au moment où les choses sérieuses vont démarrer, le Divan est tout de même au trois-quarts plein et l’ambiance est bonne, très bonne.

RAISMESFEST 2015

Pluvieuse, cette édition 2015 du ‘Raismes Fest’ auquel je prends toujours plaisir à aller car la programmation y est toujours de qualité. La journée de samedi a été une partie de plaisir entre la pluie et les décibels. Et comme chaque fois qu’il pleut, le trajet qui se fait d’habitude sans encombres devient un vrai périple car il y a toujours quelques crétins qui se croient plus futés que d’autres en roulant à la limite de l’adhérence,