Genre: Americana

Americana

Originaire de Stockholm, Jesper Lindell accède, avec ce troisième album en cinq ans, à cette fameuse maturité dont les critiques et attachés de presse nous rebattent les oreilles depuis toujours.

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Davantage encore que l’hommage d’une fille spirituelle à sa grand-mère de cœur, un disque aussi superbe que poignant, résonnant comme un passage de flambeau.

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Accompagnée par une dream crew d’une sensibilité jamais prise en défaut, cette songwriter de premier ordre se met ici au service de compositions de ses propres parangons, et franchement, ça le fait.

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Vingt ans, neuf albums et un nombre incalculable de concerts plus tard, ce collectif à géométrie variable (mais au noyau néanmoins relativement stable) propose à présent sa propre rétrospective.

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Cette fois, on ne plaisante plus. Avec ce disque, Bobbo Byrnes, singer, songwriter et guitariste d’Anaheim, Californie, se hisse définitivement en champions league.

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Bobbo délivre, avec ces sept titres (captés lors des mêmes sessions que celles qui nous valurent son quatrième LP, “SeaGreenNumber5”), une nouvelle tranche roborative d’americana inspirée.

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D’une inspiration uchronique similaire à celle qui guide la carrière du soul-crooner britannique James Hunter (quoique dans un autre registre), voici donc le très bel album d’un grand vocaliste.

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Voici un album que nous recommandons en priorité aux zélateurs de “Expecting To Fly”, “The Old Laughing Lady” et “Last Trip To Tulsa”. On ne parle pas ici de vil plagiat, mais d’inspiration majeure et confondante.

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Si la plage titulaire qui ouvre le ban ne présente guère de rapport avec sa célèbre homonyme chez Neil Young, on retrouve avec plaisir l’éclectisme à la manœuvre sur ses premiers efforts.