Miraculous Mule – Blues Uzi

Rock
Ian Burn, percussions, batterie et chant, Patrick McCarthy, basse, guitare, Lap Steel guitare, banjo, harmonica, percussions et chant, et Michael J. Sheety aux guitares, nous avaient foutu un sacré coup derrière les oreilles avec leur premier opus, et voilà que le second tape encore plus fort, juste là où cela fait vraiment beaucoup de bien.

The Love Me Nots – Sucker

Rock
Le gang fou de Phoenix débarque à nouveau dans notre vie bien paisible et ennuyeuse. Soudain, lumières, explosions en tout genre et pétards éclatent autour de nous tels des cocktails Molotov multicolores et assourdissants! Il faut dire que les loulous de Phoenix ne font pas dans la dentelle.

Slipknot – ‘.5 : The Gray Chapter’

Rock
Du chaos naît l’ordre, dit l’adage maçon. Mort d’un bassiste, éviction d’un excellent batteur… Six ans après All Hope Is Gone, Slipknot revient avec un The Gray Chapter très convenu, qui tire sa violence d’Iowa et ses ambiances de The Subliminal Verses.

The Ohm – Essence

Rock
Une voix ! C’est tout d’abord ce qui interpelle lorsque vous écoutez cet album pour la première fois. Et cette voix, c’est celle de Michèle Francoeur, d’Ottawa. Le charme opère de suite grâce à la sensualité brûlante qui suinte de toutes les vibrations de ses cordes vocales.

The Rolling Stones – L.A. Forum – Live in 1975

Rock
1975: les Stones sont dans la merde… Oh, pas financièrement, non (pour ça, remontez cinq ans en arrière). Pire encore: artistiquement. Le wonder boy choisi pour pallier à l’absence de Brian Jones, l’ange blond Mick Taylor, vient de les plaquer juste avant les sessions de leur prochain album et ils entament leur tournée américaine avec un intérimaire pas du tout certain d’assumer la relève

Terry Brisack – Diary Of A Lover

Rock
Sacré Terry! Après “Honky Tonk Mind” (hommage bien troussé à Hank Williams) et “Brighton 1932” (sous l’appellation Terry Brisack Band), le revoici sous son pseudonyme seul, pour ce qui pourrait bien s’avérer son album le plus personnel à ce jour, tout en révélant l’éventail le plus vaste de ses références

YES – Songs From Tsongas – 35th Anniversary Concert

Rock
Ah, ces fameuses seventies… Si pour le corps journalistique elles se résument souvent à des clichés du type “rock ou disco, choisis ton camp”, pour nombre de mélomanes (qu’ils les aient vécues ou non), les années 70 furent avant tout l’ère de mastodontes tels Led Zep, Pink Floyd ou Yes.

The Doors – Feast Of Friends

Rock
Longtemps mythique, ce rockumentaire (le seul réellement cautionné par les Doors de leur vivant) n’avait jusqu’à nos jours que peu circulé en dehors du circuit dit “parallèle”. Et pour cause: il demeure inachevé. Le comment du pourquoi réside essentiellement dans les tribulations du groupe vers la fin de son tournage. Morrison ayant été accusé d’avoir exhibé son ding-a-ling à Miami le 2 mars 69

Angus & Julia Stone – Self Titled Album

Rock
La fratrie australienne prolixe revient sur le devant de la scène et se lâche un peu plus sur ce troisième album qui s’est un peu psychédélisé en route. Après A Book Like This en 2007 et Down The Way en 2010, voilà que les Stone (sans ‘s’ à la fin, et à ne pas confondre avec les ‘pierres qui roulent’)

Bernie Marsden – Shine

Rock
Enorme…!!! Les premières notes du premier titre vous mettent à terre et la suite vous y colle pour un bon moment. Je vous explique: cela débute façon le Ray Dorset de Mungo Jerry et cela se poursuit en revisitant bien autres styles, sans jamais quitter la trajectoire parfaite.

Poste 942 – Extended Play

Rock
Mes premières impressions à l’écoute de cette galette 5 titres: je me suis faite refaire le brushing par mes Bose! C’est un peu éloigné de mes “standards”, mais c’est efficace dans le style et construit, pour un premier opus. Auto-production, des mecs varois, je chronique! Ils se définissent comme un groupe de rock burné avec un son ‘lampé’ ORANGE, tout droit sorti des berges du Caramy! En gros, il faut lire: Poste 942, du son à décharge (comme les lampes)

Adam Wood – Hang On

Rock
Il n’y a que les volcans qui soient éteints en Auvergne, encore que les morceaux rythmés du garçon soient capables de réveiller les bêtes de rocs et de terre. Car côté jeunesse, il semblerait que cela remue du côté d’Aurillac…!

Alice Cooper – Super Duper

Rock
Cet « opera doc » canadien sous-titré ‘Welcome To His Nightmare’ retrace l’ascension de l’iconoclaste Alice Cooper et la descente aux enfers de Vincent Furnier sur les deux décennies les plus fantasmées du Rock: sixties et seventies. A Los Angeles pendant le flower power, soit au mauvais endroit au mauvais moment, le groupe androgyne Alice Coope

Accept en concert au Bataclan, à Paris

Accept. Rappelez-vous, c’est ce groupe qui avait foutu un vrai bordel au Zénith il y a… (mince!)…25 ou 30 ans, déjà…! En rentrant sur scène au pas de l’oie avec une bande son qui rappelle amèrement les années de l’occupation, ce groupe puissant et magistral, véritable poids lourd du hard rock des années 80, revient nous botter le cul, et une nouvelle fois encore pour notre plus grand plaisir.

Bob DYLAN – I Was Young When I Left Home

Rock
Le concept de cette collection à prix démocratique (8,99€!) tient dans la maxime d’AC/DC: “Who Made Who?”. En clair, ces artistes majeurs de la seconde moitié du siècle dernier (que chacun a écoutés, et dont nombre revendiquent encore l’influence), qui écoutaient-ils eux-mêmes, dans leur jeunesse?

Elvis Presley – How Do You Think I Feel?

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Le concept de cette collection à prix démocratique (8,99€!) tient dans la maxime d’AC/DC: “Who Made Who?”. En clair, ces artistes majeurs de la seconde moitié du siècle dernier (que chacun a écoutés, et dont nombre revendiquent encore l’influence), qui écoutaient-ils eux-mêmes, dans leur jeunesse?

Johnny Cash – Next In Line

Rock
Le concept de cette collection à prix démocratique (8,99€!) tient dans la maxime d'AC/DC: "Who Made Who?". En clair, ces artistes majeurs de la seconde moitié du siècle dernier (que chacun a écoutés, et dont nombre revendiquent encore l'influence), qui écoutaient-ils eux-mêmes, dans leur jeunesse?

The Indispensable Rockabilly 1951-1960

Rock
En plus de six décennies, l'étiquette est devenue un joyeux fourre-tout, aussi n'est-il pas superflu de revenir aux origines d'un courant auquel s'abreuvèrent toutes les générations suivantes. Car si le rockab' ne s'assimile pas exclusivement au rock n' roll, il ne le fait pas davantage à la country. Genre hybride (bien qu'intégralement blanc, et pour l'essentiel d'origine rurale)

The Angry Cats – Rock’n’Riot In Town

Rock
Du Rock ‘en veux-tu, en voilà’ et des riffs juste comme il se doit, dans l’urgence, voilà ce que nous proposent The Angry Cats avec leur très bel album ‘Rock’n’Riot In Town’! Habile et savoureux cocktail entre la sauce Little Bobienne et le côté pub-rock feelgoodien! Avec cette guitare réglée vintage et la voix bien gueularde juste à point. La recette est infaillible, mais pour la réussir il faut savoir habilement jongler avec les ingrédients.

Adieu Gary Cooper – Bleu Bizarre

Rock
Il n’y a pas que le chocolat et les banques du côté du Lac Léman! Il y a aussi une sympathique maison de disques qui s’évertue à produire des choses qui débordent d’originalité et de qualité. The Rock’n’Roll from all around the World