Neal Black & Larry Garner – Guilty Saints

Blues
Pensez Neal et Larry comme vous pensez Jack et Daniel, Black and White, Johnnie et Walker ou Black & Garner. Et puis peu importe, puisque l’on a la couleur, le son et tout le reste! Et puis rappelez-vous aussi que la distance à vol d’oiseau entre Austin et La Nouvelle Orléans est de 816 kilomètres et de…860 km par la route.

Raphaël Imbert & Co – Music Is My Home

Blues
Quand le savoir encyclopédique s’écoute plus qu’il ne se lit, le résultat est immédiatement perceptible! Raphaël Imbert est ethnomusicologue de profession mais aussi musicien par vocation et il nous présente ici le fruit de ses réflexions et productions musicales suite à une immersion-initiation façon Deep South.

Tasha Taylor – Honey For The Biscuit

Blues
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la petite nouvelle venue au sein du label germanique commence très fort! C’est certes son troisième album après Taylormade en 2011, et Revival en 2008, mais venant du monde du Rhythm & Blues et de la Soul, sa toute nouvelle incursion dans le monde du Blues a de quoi surprendre et ravir!

Joe Bonamassa – Blues For Desperation

Blues
Attention de ne pas louper le départ, parce que dès les premières notes de This Train le choc est énorme! Riffs de guitare, ligne de basse infernale et batteur(s) assassin(s), tout est en place pour vous clouer au pilori! C’est le fidèle Kevin Shirley qui a proposé à Joe un second batteur, Greg Morrow, aux côtés d’Anton Fig.

Big Boy Bloater & The Limits – Luxury Hobo

Blues
La première chose qui saute aux tympans, à l’écoute de Big Boy Bloater, c’est précisément ce qui le différencie de la cohorte de ses camarades de label: il est Anglais. Pas de méprise possible, par delà son accent

Andy Frasco & The U.N. – Happy Bastards

Blues
Andy Frasco et sa petite équipe n’ont pour objectif que d’honorer la fête, l’envie de s’éclater et un certain esprit de dérision prévaut dans leur démarche. Ils ne se prennent pas au sérieux. Lui chante et assure toutes les parties claviers, tandis qu’Ernie Chang est au saxophone, Shawn Eckels à la guitare et au chant, Andee Avila à la batterie et au chant et Supaman à la basse!

Blues Harp Women (Ruf Records)

Blues
Il y a quelques mois nos amis allemands de Ruf Records célébraient leurs 20 ans d’existence en publiant un double album composé d’un Girls With Guitars constitué de 13 titres interprétés par 17 artistes féminines toutes plus brillantes les unes que les autres

Bobby & Sue – Spinning Mind

Blues
Ces deux-là se rencontrent à Douarnenez voici dix ans déjà. Brendan de Roeck est pianiste et guitariste, Violaine Fouquet chante. Ils forment un duo acoustique, et commencent par revisiter les standards du blues et du jazz qui les fascinent. Après deux albums, plus de 500 concerts et quelques festivals de renom, ils franchissent une nouvelle étape avec ce troisième essai, intégralement de leur plume.

Bonita & The Blues Shacks (Crosscut Records)

Blues
La ravissante Bonita Niessen au chant, en compagnie d'Andreas Arlt à la guitare et de Michael Arlt au chant et à l'harmonica, auxquels il convient d'ajouter Fabian Fritz aux claviers, Henning Hauerken aux guitares basses et Andre Werkmeister à la batterie, nous proposent un CD à la fraîcheur indéniable.

NINA sings NINA

Celle qui se revendique comme l’une des héritières des grandes Dames du Blues ‘chanteuses-journalistes’ qui l’ont précédée, nous avait déjà offert en 2009 un album et un poignant ouvrage, ‘Hell of a woman’, dans lequel elle levait le voile sur leur passé, abordant l’homosexualité féminine, la ségrégation, l’alcoolisme, la drogue et le racisme.

The Chris Rolling Squad

Blues
Dans ce monde en perpétuelle mutation, le courant musical n’échappe pas aux modes, mais pour certains d’entre nous demeure la nostalgie d’une époque, celle des années 60/70. Nous vivions dans l’insouciance du lendemain, nous contentant de peu avec quelques sous en poche, toujours prêts à refaire le monde en écoutant les vinyles de nos guitar heroes

Yann Lem au Pitchtime

Après avoir conquis tout dernièrement le public allemand lors du festival blues de Saarbrücken, Yann Lem, notre barde breton du blues, prend à nouveau possession du Pitchtime à Dourdan (91) ce 19 décembre pour son dernier concert de l’année 2015.

Rick Estrin & The Nightcats

Blues
Quand ils déboulent en ville, c’est la fête nationale, l’enterrement de vie de garçon généralisé, la teuf majuscule, bref, la bamboula assurée! Compositeur le plus roué depuis que Leiber & Stoller ont cessé d’écrire pour les Coasters et que Rice Miller a ravalé son harmo, ce lascar au look grouchesque a repris le flambeau de la formation qu’il co-dirigea trois décennies durant avec son complice Charlie Baty.

The James Hunter Six – Hold On!

Blues
Pour les authentiques aficionados de vintage rhythm n’blues, James Hunter est tout sauf un nouveau venu. Ayant débuté sa carrière au milieu des années 80 au sein de la formation britannique Howlin’ Wilf & The Vee-Jays, il affiche déjà deux décennies de carrière solo. Premier pas de géant en 1996, quand l’un de ses modèles, Van Morrison, lui donne l’accolade sur son premier album, avant de l’embarquer en tournée avec lui.

Simo – Let Love Show The Way

Blues
Simo est un jeune trio qui nous vient de Nashville. Ne cherchez pas le sens du nom, c’est tout bonnement celui de leur leader et guitariste-chanteur. Ils entament avec le “Stranger Blues” d’Elmore James (au beat similaire à celui du “One Way Out” de Rice Miller, dont les Allman firent en leur temps ce que l’on sait). Après un premier solo à décorner un buffle, le bougre en cisaille un plus brutal encore au bottleneck, et on commence à deviner à qui l’on a affaire.

Manu Lanvin & The Devil Blues – Son(s) Of The Blues

Blues
Vous n’aviez pas acheté le dernier album de Manu Lanvin à sa sortie, l’an dernier? Bien vous en prit, puisqu’il ressort en version augmentée, à l’occasion de sa tournée avec Johnny! Un cas à part, ce Lanvin là. Fils de, certes, mais révélé lors de sa collaboration avec un certain Calvin Russell. Avec pour modèles tutélaires Paul Personne et Neal Black

Shaggy Dogs – Bababoomba

Blues
Commençons si vous le voulez par le jeu des indices. Le nom de leur label s’inspire du titre du premier album des Inmates (également cités sur cette rondelle). L’ingé son officia sur le “Going Back Home” de Wilko Johnson et Roger Daltrey, et l’artwork évoque celui du “Supersnazz” des Groovies.

Jeff Toto Blues – Death Valley Blues

Blues
Que les fans du blues se réjouissent, Jean François Thomas, notre Jeff Toto Blues national, orfèvre du verbe et de la rime, ouvre de nouvelles frontières avec ‘Death Valley Blues’, un sixième album diaboliquement blues, enregistré au studio La Vallée (43) et masterisé chez Sonic Vision à Los Angeles.

Cotton Belly’s – Rainy Road

Blues
Nous disions déjà du premier opus au titre éponyme de Cotton Belly’s, en 2010, qu’il était très abouti. Les musiciens de Cotton Belly’s sont comme le bon vin, ils se bonifient au fil des années, à la seule différence qu’il ne leur aura pas fallu beaucoup de temps pour sortir ce troisième album, ‘Rainy Road’, qui reflète à lui seul une certaine continuité d’un savoir-faire dont les Cotton sont seuls à connaître le secret.