Reviews
chroniques de CD, DVD
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Latest Reviews L’actu des chroniques
Blues |
Martin Harley & Daniel Kimbro – Live At Southern Ground
Martin Harley a enregistré quatre albums avec son groupe éponyme. L’été dernier, après s’être produit à Crawford, Tennessee, avec pour seul support le contrebassiste Daniel Kimbro, il est entré en studio à Nashville pour enregistrer d’un trait ce projet (effectivement ‘live’ donc, bien que sans public).
Blues |
Gerry Jablonski & The Electric Band – Trouble With The Blues
King King et les frangins Nimmo ne sont pas les seuls hérauts d’un certain blues-rock à l’Écossaise. Voici déjà le quatrième album de cette formation aux accointances polonaises (si l’on se réfère, outre celui de son leader, au patronyme de l’harmoniciste Peter Narojczyk).
Blues |
Crazy Hambones – 45 Live
Les Crazy Hambones sont un trio germano-britton basé en Allemagne, dont le line-up est déjà une particularité en soi: harmonica, guitare, batterie et basta! Ils tournent depuis un bon bout de temps, que ce soit ensemble ou séparément, mais c’est bien leur formule à trois qui emporte le morceau.
Blues |
Rockin’ Johnny Burgin – Greetings from Greaseland
Johnny Burgin ne rencontrera sans doute jamais le succès et la reconnaissance d’un Joe Bonamassa. C’est grossièrement injuste, mais en vingt ans de carrière, Rockin’ Johnny n’a jamais dévié de l’éthique que lui ont transmis les maîtres auprès desquels il fit ses classes dans le West-Side de Chicago.
World Music |
Rhythm Junks – It Takes A While
Il y a vingt ans, la Flandre belge comptait deux groupes majeurs, dominant de la tête et des épaules la scène blues européenne: les Electric Kings et El Fish. Et tous deux comptaient en leurs rangs des harmonicistes surdoués: "Big" Dave Reniers pour les premiers, et Steven de Bruyn pour les seconds.
Rock |
Santana – Santana IV
Sur le papier, ça semble le plus gros coup marketing depuis la fugace réunion de Cream en 2005: quatre membres historiques du Santana Band des tout débuts se joignent à leur ex-leader éponyme pour LA reformation de la décennie! Problème, ce genre d’entreprise peut s’avérer d’autant plus décevante qu’elle suscite d’espoirs démesurés
Blues |
Various Artists – R & B Hipshakers Vol. 4 – Bossa Nova and Grits (Vampisoul / Differ-Ant)
En Europe, on n’a jamais su reproduire le glorieux son du rhythm n’blues afro-américain des fifties. Par contre, notre vieux continent compte les plus brillants exégètes quand il s’agit de disserter sur le genre. Civilisation productiviste par excellence, l’Amérique a toujours préféré digérer ses propres richesses plutôt que de les valoriser.
World Music |
Young Lords – Rise
Les Young Lords, ‘Jeunes seigneurs’, deviendront plus tard la Young Lords Organisation (YLO) à Chicago, puis à New York, en particulier dans le Spanish Harlem, le Young Lords Party (YLP) était un groupe d’extrême gauche défendant le nationalisme portoricain et les droits des Portoricains aux États-Unis.
World Music |
St Germain – St Germain
Grand amateur de Blues, je ne peux qu’être ravi en écoutant l’interprétation que nous offre Ludovic Navarre du titre joué par Lightnin’ Hopkins, You Caused My Heart To Weep, celui-ci étant considéré comme un ‘classique’ du Grand Monsieur qu’était le Bluesman en question
Rock |
Terry Brisack & Band – Rainy Day Tales
Des Français obsédés par un certain pop-folk-rock anglo-saxon à l’ancienne, je pourrais vous en citer des génériques entiers. Le club de ceux qui parviennent à s’inscrire dans cette veine sans se couvrir de ridicule est toutefois beaucoup plus restreint. Aux côtés de son ami Johan Asherton (ainsi que de Dominic Sonic et des Guttercats)
Rock |
David & Dominique – Intégrale 1968-1980
ans notre bel Hexagone, le premier tremplin de promotion pour ce qu’on appelle désormais les artistes en émergence n’a pas toujours été la Nouvelle Star. Dans les années 60-70, les Maisons de la Culture lancées par Malraux constituèrent un creuset fécond pour une expression musicale en marge des circuits établis.
Rock |
The Casanovas – Terra Casanova
Juste un petit billet pour faire savoir à l’aile avancée de l’humanité que les Australiens de Melbourne sortent leur troisième pépite sur-vitaminée. On savait que KISS avaient fait des émules dans tous les coins et recoins de notre belle planète, dont ceux-ci, aux antipodes.
Jazz |
Panorama Circus – Painter Of Soul
Rencontre étonnante, détonante et improbable entre deux musiciens que rien ne prédisposait à ce que cela ait lieu: Mathieu Jérome, pianiste, compositeur, qui a participé à de nombreux projets (Jazz, Funk, Hip-Hop, Afrobeat ou Pop), et qui a de nombreuses expériences orchestrales et musicales à son actif
Blues |
Tasha Taylor – Honey For The Biscuit
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la petite nouvelle venue au sein du label germanique commence très fort! C’est certes son troisième album après Taylormade en 2011, et Revival en 2008, mais venant du monde du Rhythm & Blues et de la Soul, sa toute nouvelle incursion dans le monde du Blues a de quoi surprendre et ravir!
Blues |
Raphaël Imbert & Co – Music Is My Home
Quand le savoir encyclopédique s’écoute plus qu’il ne se lit, le résultat est immédiatement perceptible! Raphaël Imbert est ethnomusicologue de profession mais aussi musicien par vocation et il nous présente ici le fruit de ses réflexions et productions musicales suite à une immersion-initiation façon Deep South.
Blues |
Neal Black & Larry Garner – Guilty Saints
Pensez Neal et Larry comme vous pensez Jack et Daniel, Black and White, Johnnie et Walker ou Black & Garner. Et puis peu importe, puisque l’on a la couleur, le son et tout le reste!
Et puis rappelez-vous aussi que la distance à vol d’oiseau entre Austin et La Nouvelle Orléans est de 816 kilomètres et de…860 km par la route.
Blues |
Mick Ravassat & The Blue Team – On Air
Je vais tout de suite vous faire une confidence: ce n’est pas ainsi que les choses se présentent, en fait. Mick Ravassat & The Blue Team est plus près de la réalité de la cover qui protège le Disc qui contient les 10 reprises que Mick interprète sur cet album qui ne livre que quelques facettes de l’immense guitariste qu’il est.
Rock |
Terry Brisack & Band – Rainy Day Tales
Des Français obsédés par un certain pop-folk-rock anglo-saxon à l’ancienne, je pourrais vous en citer des génériques entiers. Le club de ceux qui parviennent à s’inscrire dans cette veine sans se couvrir de ridicule est toutefois beaucoup plus restreint. Aux côtés de son ami Johan Asherton (ainsi que de Dominic Sonic et des Guttercats)
Rock |
Supersonic Blues Machine – West Of Flushing, South Of Frisco
Qui de nos jours se souvient de Felix Pappalardi? Ce fils d’immigrés ritals à New-York produisit pourtant le “Wheels Of Fire” de Cream, avant de co-fonder Mountain avec Leslie West, tout en poursuivant une carrière de producteur plaqué or. Si ce brave Felix n’avait été abattu par sa légitime à l’âge précoce de 43 ans
Rock |
Dirty Streets – White Horse
Ce qu’il y a d’étonnant avec les années 70, c’est qu’on dirait qu’elles ne se sont jamais vraiment achevées. Je veux dire qu’en dépit des coups de boutoir que lui assénèrent le punk, le disco et toutes les vagues qui le vouèrent aux gémonies, le heavy-rock qui prédominait au début des seventies n’en finit pas de renaître sous l’égide de générations qui ne connurent pourtant pas la Woodstock
Rock |
Villagers – Where Have You Been All My Life?
Ce n’est un secret pour personne: Villagers est le véhicule exclusif de son leader, Conor O’Brien. Encore auréolé du succès de leur premier essai en 2010 (le justement célébré “Becoming A Jackal”), il prend déjà le temps d’un surprenant regard rétrospectif sur une carrière qui n’en est encore qu’à ses prémisses.
Rock |
John Cale – Music For A New Society / M:Fans
Avec des titres tels que “Vintage Violence”, “Church Of Anthrax”, “Academy In Peril”, “Paris 1919”, “Animal Justice” ou encore “Words For The Dying”, difficile de prendre John Cale pour l’équivalent gallois d’Henri Salvador. Aussi lugubre que sépulcral, le gonze combine en effet la folie d’un Syd Barrett à la mélancolie maniaco-dépressive de feu son amie Nico
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