Genre: Death metal

Death metal

Dissymmetry est la première référence du catalogue d’Overpowered Records, qui a aidé SUP à récupérer les droits sur ses albums précédents.

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Pour The Ride Majestic, chevauchée majestueuse, le plus franco-belge des groupes de death metal mélodique suédois s’est retrouvé sur l’essentiel: densifier la diversité… des styles.

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Origin devient “rôle modèle”, renvoyant dos à dos les Gorguts, Skinless, et autres rejetons surfaits de la scène techno-death metal des nineties.

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Loudblast, part de notre mythologie metal nationale, ancre son dixième album dans une histoire longue.

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Zuul FX a suivi le capitaine d’industrie du label XIII Bis à Verycords, et Unleashed tient la moitié de ses titres des sessions de l’ultra-violent The Torture Never Stops (2011).

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Terrorvision reste l’album le plus consistant d’une discographie régulière en sorties (une tous les deux ans, sur vingt ans) mais fluctuante en qualité.

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Jupiter n’a pas trahi son héritage. Ses 35 minutes “all killer, no filler” sont celles de l’amour de la musique bien faite… et mieux produite.

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Puissent, sur scène, la pyrotechnie et les drakkars en carton-pâte faire oublier cette production de Jay Ruston, qui en manque. De roustons.

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Le death mélodique rose bonbon des Suédois d’Amaranthe, produit de consommation calibré à 3’30 par titre avec faible écart-type, interroge la communauté metal.

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Si Will To Power a encore été composé par le guitariste Michael Amott, également en charge des textes hymniques, la canadienne Alissa a pris la plume sur quelques titres rapides.