Popa Chubby – The Catfish

Blues
Serait-ce sa proximité géographique avec les célèbres studios Daptone? Toujours est-il qu’avec ce nouvel album, l’ogre de Brooklyn semble revenir à ses premières amours funk, qui lui valurent d’être reconnu avec "Booty & The Beast", voici plus de 25 ans déjà.

Popa Chubby – I'm Feelin' Lucky

Blues
En voilà, un artiste clivant, pour paraphraser certains commentateurs politiques! Le guitar-hero à la dégaine la plus improbable depuis Rick Nielsen s’est depuis ses débuts affranchi de toute étiquette: sous un look de rapper new-yorkais tatoué, il a parcouru le dernier quart de siècle en arborant son blues-rock comme un corsaire le ferait de son étendard

Popa Chubby – Back to New York City

Blues
Revenu de tous ses démons, à part bien entendu celui de la musique et de la création, ce bad boy originaire du Bronx continue contre vents et marées à déposer de façon régulière ses albums dans nos bacs nationaux et s’il jouit sur nos terres d’une popularité supérieure à celle qu’il connaît dans son propre pays, c’est encore et toujours

Popa Chubby – The Fight Is On

Blues
Chez Popa Chubby, ce qui plaît à certains et déplait à d’autres c’est cette façon permanente de ne pas rester dans les clous d’un style donné, de se moquer des critiques et de n’en faire qu’à sa tête, quitte parfois à rendre chèvres ceux qui l’approchent. Et Dieu sait que les colères et pics d’humeur peuvent être volcaniques chez le bad boy tatoué au crâne rasé. Certaines chaises s’en souviennent encore…

Popa Chubby – Vicious country

Blues
Qu’on se le dise, la belle Galea est de retour et c’est avec un plaisir non dissimulé que nous la verrons sur scène faire gronder sa basse au sein de Vicious Country les 21 et 22 novembre au Bataclan. A ceux qui espèrent faire les yeux doux à la Miss, je rappelle simplement que Galea sera en France dans le cadre de la tournée promo du nouvel opus de son mari, le guitariste Popa Chubby.

Popa Chubby – Electric Chubbyland

Blues
Et voici un coffret qui s’impose, facile, dans le tiercé gagnant des hommages au Dieu du Manche, Jimi Hendrix. Laissez de côté votre parano et ouvrez l’objet. Trois CD s’offrent à vous : les deux premiers enregistrés en ‘live’, et le troisième en studio. L’entrée en matière est pur jus chubbyen assaisonné de piment (costaud) hendrixien, avec un racé Spanish Castle Magic qui vous change des classiques entames Little Wing ou Red House …