Sir Oliver Mally – Ol’ Dogs, Nu Yard

Blues
Il est des albums pour lesquels il faudrait songer à ne plus faire de chroniques tant la qualité de ces opus vous mettent sur le cul, tant le niveau des artistes qui les proposent est proche du sublime, du divin, tant la qualité émotionnelle des chansons vous tordent le cœur comme un vieux torchon. Il est des albums pour lesquels les mots sont superflus et pour lesquels seul un qualificatif peut suffire, seule une larme peut traduire la densité de sensations éprouvées à l’écoute des titres proposés.

Sir Oliver Mally – Candystore

Blues
Le barde autrichien aurait-il définitivement posé dans un coin du studio sa six cordes électrifiée et mis au placard son groupe, le Sir Oliver Mally’s Blues Distillery, pour basculer dans le ‘unplugged’ et l’acoustique ? Serait-ce ce que l’on appelle la maturité ? A l’écoute de ce second opus solo et cent pour cent acoustique on sent le beau gosse comme assagi. Sur les treize titres proposés officiellement (car un quatorzième titre vous est ‘caché’ en fin d’album – je vous en reparlerai plus tard) Oliver vous propose…

Sir’ Oliver Mally / Martin Gasselsberger – So What ? If…

Blues
Oliver Mally n’est visiblement pas du genre à rester les deux pieds dans le même sabot, à garder le même cap une fois les choses bien établies,…non, le lascar est du style équilibriste, aventurier, avec prises de risques, au fil des années et des rencontres : après la période électrique du ‘Sir Oliver Mally’s Blues Distillery’ (ref. le très bel album Bulletproof), un album solo beaucoup plus acoustique …

Sir Oliver Mally’s Blues Distillery

Blues
J’avais eu un sourire ironique en découvrant le nom du bonhomme : un bluesman, et autrichien, qui se surnomme ‘Sir’, fallait oser, surtout vu le plateau international offert. Avant même d’ouvrir le livret je glisse le CD dans le lecteur, intrigué, prêt à lui coller une étiquette d’arrogant play boy, car il a une belle tronche, en plus, le garçon. Premier titre, Like A Bullet From A Gun : putain d’intro, avec dobro, batterie, percus, puis six cordes brûlante…

Sir Oliver Mally : Love is a devil

Blues
Avec Bulletproof, son précédent album, le play boy autrichien avait frappé un grand coup et démontré que le Blues fondu en Autriche n’attendait plus rien pour envahir les ondes de l’Europe occidentale, nordique et anglophone, signant avec son groupe, le Oliver Mally’s Blues Distillery (avec un CD n° 0533 déjà chez ATS Records, chroniqué dans votre Blues Magazine n° 41) un superbe album sur lequel on retrouvait notamment un fabuleux Raphael Wressing aux claviers.