Les chiens sont lâchés et l’énergie qui jaillit de l’opus va sans doute faire rentrer chez elles les ménagères fidèles aux chansons d’amour sur fonds de violons langoureux car ici, la six corde et l’harmonica sont en liberté – surveillée, certes, mais en liberté, tout de même – sur fond de rythmique bétonnée et cela vous donne un album survitaminé, qui fait jaillir le ‘peps’ qui est en vous. Cela démarre d’ailleurs en trombe sur un riff rageur de gratte à l’entame de ‘Another Man’ avant de se poursuivre par ‘Blame’ …