
Quand un bluesman ex-new yorkais débarque à Paris, cela émet forcément des ondes électrostatiques et mes antennes sont à l’écoute. Surtout quand le gars en question s’appelle Eric McFadden, un type qui n’est pas le premier guitariste du coin venu se la jouer, le lascar présentant une carte de visite longue comme un parchemin pour avoir joué avec pas mal de grands noms, que ce soit en heavy-blues ou punk. C’est d’ailleurs ce qui caractérise sa panoplie