Le talent ne se négocie pas, vous l’avez ou vous ne l’avez pas ; ce talent, JW Jones le possède, incontestablement. Dès le premier titre, Kissing in 29 Days, et du haut de ses 25 balais, le canadien beau gosse vous scotche sur place, vous offrant un disque bourré d’un Chicago Blues du meilleur cru, avec juste ce qu’il faut de clins d’œil au jazz, via une exceptionnelle section de cuivres dans laquelle on retrouve …