Artist: Fred Chapellier

Blues

Le premier CD est un Live qui restitue l’atmosphère d’un concert de l’excellent guitariste qu’est Fred Chapellier. Douze morceaux interprétés par un combo de choc, avec le ‘grand’ Fred aux guitares et au chant, Abder Benachour à la basse, Charlie Fabert à la guitare rythmique (exceptés Cold As Ice et B Shuffle où il joue le second solo)

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Bienvenue dans l’oeil du cyclone du blues made in France! Fred Chapellier frappe encore un grand coup avec cet album au titre diaboliquement évocateur, ‘Electric Fingers’. Treize titres remplis d’une musique généreuse et juteuse qui laisse transpirer cette joie de jouer qui caractérise le grand Fred. De cette joie qui se traduit par un sourire permanent, comme pour mieux vous faire comprendre combien la vie est belle

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Le pari était risqué: faire du neuf avec du vieux, mais nouveau sans faute pour Fred Chapellier qui nous propose un album construit à partir de chansons extraites de deux albums, ‘Blues Devil’ sorti en 2003 et ‘L’œil du Blues’ en 2005, et pour lequel le grand Fred a réenregistré toutes les partie vocales et ses guitares.

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Rien qu’en regardant l’objet vous en avez déjà les yeux qui s’écarquillent car sur la couv du digipack on vous annonce rien moins que le line-up suivant pour cet album en hommage à Roy Buchanan (et dans l’ordre figurant sur cette couv): Fred Chapellier, Billy Price, Jean Roussel, Neal Black, Tom Principato, Gib Wharton, Leadfoot Rivet et Miguel M., excusez du peu.

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Mine de rien, y’a déjà les deux noms sur la couv du digipack qui vous font comprendre que l’objet du délit proposé ici va vous filer une p’tite claque, parce que Billy Price et Fred Chapellier ce n’est pas une combinaison marketing de fin d’année pour relancer les ventes de CD. Non, ce duo est la suite logique de la venue de Billy Price, chanteur du regretté Roy Buchanan, aux sessions menées par Fred pour la sortie de son ‘Tribute To Roy Buchanan’, sans doute l’un des meilleurs albums de blues …

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Un CD bourré de pépites, avec deux originalités, en début et en fin d’album, dont ces 45 premières secondes du premier titre, Au p’tit jour, où voix et guitare de Fred vous parviennent en sourdine. Puis c’est la déferlante, avec une rythmique puissante, assurée, et des solos de guitare à faire pâlir un Clapton des grands soirs…