Seul (petit) reproche à ce disque magistral, il culmine à moins d’une demi-heure… Le premier J.J. Cale n’en durait guère davantage, mais on le déguste pourtant toujours avec le même ravissement.
Avec un lay-out du digipack aussi soigné que son contenu audio, on comprend que l’on tient ici l’une des plus remarquables assimilations des musiques que propage Georges Lang en nos contrées.