Plus proche en définitive de King Curtis que de John Coltrane et Pharoah Sanders, un album instrumental dont la spiritualité groovy ravira les aficionados de soul exotica.
Érol Josué tente d’exorciser les démons plutôt que de proposer un servile oncletomisme touristique. L’expérience s’avère cathartique: on en sort bousculé… pour le meilleur.