Il y a parfois des disques qui, comme ce Loup pour l’autre, arrivent au milieu des autres, dans une pochette presque quelconque si l’on n’y prête pas attention, et brusquement c’est la baffe, la grande claque. Respectueux des traditions, on tend l’autre joue, histoire de bien se rendre compte que l’on n’a pas bondi parce que les autres CD du moment sont vraiment trop moyens.