Great News: le premier EP de Tom Leeb est annoncé pour 21 septembre chez Roy Music! Les impatients devront encore attendre quelques longues semaines avant de pourvoir écouter (et recevoir) ce premier EP tellement attendu!
Mais pour vous faire patienter en attendant ce EP, PARIS-MOVE vous propose Go on!
Go On, voilà le premier titre qui met en lumière le talent musical de Tom Leeb qui d’emblée montre son univers de songwriter aux influences folk (Ben Howard, Bon Iver, Matt Corby…). Tom Leeb aime les couplets chantants et les refrains entêtants. Sa musique, dépouillée, vise au coeur, et dévoile une profondeur qui risque d’en surprendre plus d’un.
Tom Leeb n’a pas trente ans et il court les scènes comme les planches, jonglant avec les casquettes d’acteur, de comique et désormais de compositeur, sans se préoccuper des qu’en-dira-t-on. Il a décidé de ralentir le tempo dans un premier EP prévu pour le 21 septembre et dans lequel il se livre sans faux-semblants. Sur Youtube, un de ses premiers titres, Are We Too Late cumule déjà plus de 12 millions de vues, preuve que sa musique séduit.
Aujourd’hui, découvrez avec PARIS-MOVE la vidéo de Go On, un titre comme un mantra qui lance la carrière de compositeur de Tom Leeb, et annonce le EP pour après l’été. Go On!
Pour voir la vidéo, cliquez ICI
Sa musique est organique, chauffée aux cordes sensibles des guitares acoustiques et des six-cordes saturées, à mille lieues des bidouilles et des modes électro. Tom Leeb verse dans le blues-rock léché qui tire vers la pop, aux arrangements de cordes et de synthés sobres mais fouillés. Un rock mélodieux et populaire dans la lignée de son idole John Mayer, dont “la musique universelle, qui prend aux tripes” l’incita à composer ses propres hymnes.
Tom aime les couplets chantants et les refrains entêtants (“How Long” et “Swear”), plutôt melody maker que bad boy brûleur de riffs. Pas question de prendre la pose: “Je ne suis pas un rockeur pur jus, j’aime le côté propre et esthétique des productions, à l’image des musiques de film dont je suis un grand fan.”
Pas d’orchestre grandiloquent sur ce premier projet, le storyteller a opté pour la mise à nu en mettant sa voix au premier plan, plein fer, sans filtre ni mélopées forcées: “Je voulais dévoiler une autre facette de ma personnalité, une nouvelle étape de mon parcours artistique, sans jamais m’éloigner de l’authenticité. A l’image du titre “How Long”, qui parle de la patience et de la perception du temps, ce projet se veut intemporel, il n’a ni unité de temps ni de lieu.”
Des émotions à fleur de peau pour des chansons universelles. Tom Leeb raconte en filigrane un amour contrarié par la distance. En tant qu’artiste, il ne jure que par les élans du coeur, évoque au chapitre des influences les Ben Howard, Bon Iver, Matt Corby, mais aussi quelques jazzmen (Frank Sinatra, Gene Harris, Jamie Cullum), lorgnant la côte Est américaine, dans le sillon d’un père féru de la blue note. L’un au swing, l’autre au groove. Ces deux-là se ressemblent, deux frenchies vagabonds, toujours à l’aise dans leurs baskets quels que soient les arts appliqués.
Pour Tom, il était hors de question de se cacher derrière un nom de scène, de taire ce père dont il est “fier”. Chez les Leeb, on juge sur pièces. D’ailleurs, les carrefours lui font bien moins peur que les chemins balisés.
A 18 ans, il part vivre à New York pour étudier le théâtre et le cinéma. C’est là, downtown Manhattan, qu’il commence à taquiner la guitare qu’un ami lui prête et que la musique prend corps. Depuis, il a tourné dans plusieurs séries et films, fait du one-man-show, du stand up et monté un duo comique (Kevin & Tom, “des Laurel et Hardy modernes sous l’emprise d’un gaz hilarant saupoudré d’amphétamines”).
Tom le touche-à-tout écume les scènes en se moquant royalement des chapelles, faisant le grand écart entre sketchs hilarants et ballades mélancoliques, traits d’esprit et tripes en dehors. Le labo Leeb. “Dans la musique, je suis dans le registre de la poésie, mon côté un peu plus sombre; dans le stand up, je m’inscris dans l’humour, l’explosion. Cela n’a rien d’antinomique. Pourquoi vouloir toujours tout séparer, diviser? Limiter sa palette d’émotions?”.
Page Facebook officielle: ICI