THE CELTIC SOCIAL CLUB – A New Kind Of Freedom

10H10 / Sony Music Entertainment
World Music

Après le Buena Vista Social Club et le New Orleans Social Club voilà que le CELTIC SOCIAL CLUB met son grain de sel dans la world music party et la déflagration est tonitruante !
Les français, bretons et autres écossais membres du gang sévissent ensemble depuis 2013 et sortent aujourd’hui leur second album, “A New Kind Of Freedom”, le premier ayant été balancé en 2014 (et je vous recommande vivement de vous le procurer, car si THE CELTIC SOCIAL CLUB suit la même carrière que le Buena Vista Social Club, ce premier album deviendra un collector très recherché !!). C’est Manu Masko, batterie, percussions, orgue, Fender Rhodes et claviers divers, qui est à l’initiative de ce rassemblement hétéroclite, et je peux vous avouer que çà le fait !!
Jimmie O’Neill chante et joue des guitares électrique et acoustique, Goulven Hamel du banjo, du bouzouki irlandais et des guitares, Ronan Le Bars des flûtes, Pierre Stephan des violons, Richard Puaud de la basse, et Mathieu Pequeriau de l’harmonica et du Washboard. Sans oublier les quelques invités supplémentaires, puisque telle est aussi leur marque de fabrique: inviter des special guests pour que la fête soit la plus belle possible. Enregistré à Paris, New York City, La Rochelle, Nantes, Rochefort, Poitiers, Nantes et St Jean du Doigt, l’opus a été mixé à Londres, New York et La Rochelle. L’album vous offre 11 morceaux de musique inqualifiable, car à la fois Celtic Rock, Folk Rock, Celtic Punk, Néo Folk, et bien d’autres en plus. Ils réactualisent des mélodies celtes anciennes et, tels des alchimistes modernes, les transforment et leur redonnent vie sous forme de morceaux de Rock aux influences diverses et multiples. Ca balance grave, ça vous envahit le corps et l’âme, ça vous secoue à tel point qu’emballé par les rythmes vous n’aurez qu’une envie, celle de danser et de gigoter, car ce CELTIC SOCIAL CLUB constitue le véritable “dancing band” du vingt et unième siècle. C’est fabuleux à écouter et je n’ai qu’une envie, les voir sur scène, car cela doit être énorme en Live!
Excellent !!!
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Dominique Boulay
Paris-Move & Blues Magazine (Fr)
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