Nina Attal – Wha

Nueva Onda records
Blues

Un opus qui démarre sur les chapeaux de roues et qui vous met immédiatement dans l’ambiance de ce qui va suivre… Nina avait signé un premier EP de 5 titres en 2010 puis un premier album de 12 titres en 2011. Elle avait ensuite sillonné les routes d’Europe pour donner un nombre impressionnant de concerts. C’est après avoir joué en première partie du CHIC de Niles Rodgers et Jerry Barnes, groupe de Disco et de Funk des années soixante dix qui continue de se produire de nos jours qu’une opportunité et une occasion exceptionnelle se sont produites pour Nina. Jerry Barnes, le bassiste de la formation américaine, a demandé à Nina de venir enregistrer à New York. Il coproduit l’opus avec Philippe Devin et a proposé deux titres, Ain’t Gone et Baby, à la ravissante artiste française qui a, de son côté, composé les autres morceaux avec le même Philippe Devin.
Nina chante et joue de la guitare, Philippe Devin est, lui aussi, à la guitare, Jerry Barnes est donc à la basse, Khari Parker à la batterie, à l’exception des deux premiers Ain’t Gone et Stop The Race sur lesquels joue Steve Jordan, Bashiri Johnson est aux percussions, Cory Henry à l’orgue, Selan au piano acoustique et au Fender Rhodes, Gaël Cadoux au Wurlitzer et à la clavinette, sans oublier Fred Dupont au moog, Vincent Payen à la trompette, Sylvain Fétis au saxo ténor et à la flute, Thomas Faure aux saxophones alto et baryton, et Bernard Luzignant au trombone. Ce n’est pas un album de Blues ou de Rock, c’est plutôt une large palette de rythmes anglo-saxons très bien interprétés par d’excellents zicos et Nina Attal, les points forts de la Miss étant sa voix, sa faculté d’adaptation à tous les tempos et les styles, Blues, Soul et Funk, et son indéniable charme personnel.

Nina Attal