Blues-Rock

Like the McGyver on TV, GWYN ASHTON sorts out everything by himself on this lo-fi garage one-man stoner distorto blues-rock album. And as a McGyver-bonus, the tracks have been recorded in the Czech Republic and England, mixed in Australia (Adelaide to be precise) and the mastering was done in England. From the first track, “Metaphysical Journey”, you can’t help but be taken aback. For an old boy like me, it’s like a throwback to the good old days and the good old sound of the 60s and 70s. You’re left wondering if it’s not a Syd Barrett bootleg dug up from God knows where…
Musically, this album brings out everything a one-man band should, it is pure genius with each track being so different, so rich that many guitar players of the 60s and beginning of the 70s, I’m sure, would have liked to produce it… It sometimes feels that this is the solo album Syd Barrett should have made but had neither the time nor the lucidity to record. And just like Syd knew how to, GWYN ASHTON hits us where it matters, straight to the heart as it’s by energising his guitar that he brings out all the emotions imaginable. The tracks themselves cannot really be dissociated from each other but they give the tone of the album which must be listened to as a whole, just like those mythical masterpieces of the 60s and 70s. There’s no embellishment, it just goes straight to the point.
It’s an album which has everything to take your breath away, but for an old boy like me, this is a masterpiece, and I will say it again, a new masterpiece full of nostalgia, which makes you feel 50 years younger.

Frankie Pfeiffer
Editor in chief – PARIS-MOVE

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Blues-Rock

En super-bricolo de la débrouille, GWYN ASHTON assure tout lui-même sur ce “lo-fi garage one-man stoner distorto bluesrock” album, avec des titres enregistrés en République Tchèque, d’autres en Angleterre, puis tous mixés en Australie, à Adelaide, pour revenir ensuite les masteriser en Angleterre. Dès le premier titre, “Metaphysical Journey”, on prend une baffe énorme! Pour les anciens comme moi, on replonge direct dans le son des années 60/ début des 70’s, et on est à deux doigts de se dire que l’on écoute un bootleg de Syd Barrett déterré de je ne sais où… Cet album transpire tout ce qu’un one-man band peut proposer de génial au niveau musical, alignant des titres d’une diversité et d’une richesse que beaucoup de guitaristes des années 60 auraient aimé pouvoir produire, j’en suis persuadé. On dirait par moment l’album solo pour lequel Syd Barrett n’a plus eu ni le temps ni la lucidité pour l’enregistrer… Et tout comme Syd savait le faire, GWYN ASHTON nous touche en plein cœur, car c’est en dynamisant sa guitare qu’il en transmet toutes les capacités émotionnelles. Les titres eux-mêmes ne sont pas vraiment dissociables les uns des autres, mais donnent le ton d’un album qui se doit d’être écouté comme un tout, à l’instar de ces albums mythiques des 60’s et 70’s. Pas de fioritures, c’est straight to the point.
Un album qui a de quoi surprendre, mais pour les anciens comme moi, oui, je le dis, attention… c’est un nouveau chef d’œuvre, et bourré d’une nostalgie qui vous rajeunit de 50 ans.

Frankie Pfeiffer
Rédacteur en chef – PARIS-MOVE

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La tonalité de la photo de cover annonce la couleur. Le psychédélisme revient à grande vitesse. Du moins est-ce notre premier sentiment, le bel objet entre les mains. Ensuite, ce que nous recevons entre les oreilles confirme ce que nous ressentions d’instinct! Le puissant guitariste nous projette ses riffs en pleine figure, et même si certains évoquent le Blues d’antan, la virtuosité du guitariste va explorer d’autres sentiers que ceux habituellement piétinés… En écoutant cet album de GWYN ASHTON on a parfois l’impression d’effectuer une marche arrière de plusieurs dizaines d’années, avec tout simplement 10 titres et une reprise remarquablement mise en accords, avec sons plus ou moins saturés et joués au Bottleneck. Un ouvrage fabuleux pour celui qui, comme moi et comme GWYN ASHTON, est un grand amateur de Rory Gallagher, un des Maîtred incontestés du bottleneck. Avec “Solo Elektro” l’australien réalise une belle prouesse stylistique, car il faut bien dire que sa voix trouve ici matière à mettre en valeur les paroles de ses textes. Rappelons tout de même que comme pour tout vrai bon album solo qui se respecte, l’artiste a enregistré tous les instruments simultanément. Certains, comme notre rédacteur en chef, définissent sa musique comme étant du “lo-fi garage one-man-stoner distorto blues rock”. C’est le plus beau qualificatif que l’opus mérite!!!

Dominique Boulay
Paris-Move & Blues Magazine (Fr)

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Track listing de “Solo Elektro”:
1 Metaphysical Journey 6:11
2 Freedom 3:22
3 She Won’t Tell Me 2:17
4 Dawn of Tomorrow 4:42
5 In Your Blood 3:30
6 Please Allow Me 3:20
7 Late Night 3:51
8 I Guess That’s What They Call Love 2:47
9 Kind to Be Cruel 5:51
10 Shine Lover Shine 2:39
11 Metaphysical Journey (Reprise) 7:05
Released: Oct 20, 2017
℗ 2017 Gwyn Ashton
Also Available in iTunes