PARIS-MOVE, May 19th 2025 – Lucien Chéenne est de retour avec son nouvel Larmes au Poing sur le label Flower Coast, un virage assumé vers la chanson rock et poétique. Larmes au poing est un album nomade, écrit et composé pour moitié à Astaffort, avec l’aide de l’équipe de Francis Cabrel (Jérôme Attal, Julien Lebart, Olivier Daguerre), et pour l’autre moitié, entre Nantes et Piriac par Lucien Chéenne. Un disque vibrant et poétique qui foudroie dès la première écoute. Lucien Chéenne ne triche pas dans ses chansons, car on ne triche pas avec les émotions.
Depuis ses débuts aux accents punks et alternatifs, et sur les centaines de scènes qu’il a foulées, le musicien leur a forgé ce caractère. Lucien Chéenne évoque dans ses chansons les âmes cabossées, la force de l’amour, sa silhouette franche, les filles, la séparation, son job d’éduc-spé au côté des plus fragiles ou encore son fils… Ses textes montrent que c’est dans le quotidien que se cache la beauté de nos vies, et une source d’inspiration infinie.
On découvre aujourd’hui le single “Je suis une fille” avec lequel Lucien Chéenne interroge sa part féminine. “Je suis une fille est une folk-song qui trace son chemin entre Radiohead époque Ok Computer et le folk-rock psyché de Nino Ferrer période South.”
Larmes au Poing, l’album de Lucien Chéenne est clairement ancré dans la chanson française actuelle même si l’ambiance est volontairement typée 70’s, entre folk, rock, et psychédélisme. Des chansons sombres mais bien vivantes, pleines de poésie, héritière des grandes heures du rock romantique et atmosphérique français. Parfois, quelques fantômes s’invitent. On y croise Alain Bashung, Nino Ferrer (époque South et ses albums Psychés), l’homme à tête de chou Serge Gainsbourg… Pour finalement débarquer sur des rivages surprenants que personne n’aurait soupçonné ici: ceux d’Etienne Daho (sur Sauvage Ennui), Lo’Jo et Denis Péan (sur Les écorchés) ou encore Philippe Brach.
Plus que tout, l’accent est mis sur la poésie. Même si la réalité des histoires contées dans ce disque sont vécues et avérées, le réalisme habituel des chansons de Lucien fait place à une réelle volonté poétique de créer du beau. Dans les profondeurs du texte, on retrouve l’influence des poètes beat américains Jack Kerouac ou Richard Brautigan, des poètes français Denis Péan ou Cécile Coulon, et des auteurs Albert Camus, Sorj Chalandon, ou David MacNeil.
Larmes au poing raconte quatre années. Quatre années de descentes vertigineuses, de remontées mécaniques, d’ascenseurs émotionnels. Entre son combat de parent, sa relation au père et à sa propre paternité, les histoires humaines qui se meurent, et celles qui naissent, ses parts d’ombres et de lumières, Lucien interroge la question de l’amour comme la question du combat ordinaire. L’album dont l’étincelle est née à Astaffort, a été enregistré en Sarthe (au Studio la Boîte à Meuh), en home-studio en Loire-Atlantique (enregistrements voix), et à Montreuil (Studio La Kapsule), sous la bienveillante réalisation de l’équipe de Vianney : Hugo Cechosz (Miossec, Vianney, Eiffel, Arthur H) à la réalisation générale et Vincent Louvet (Vianney, Tété, Orange Blossom) pour l’enregistrement des parties vocales.
Avec Larmes au Poing, Lucien Chéenne montre que c’est dans le quotidien que se cache la beauté de nos vies, et une source d’inspiration infinie.
Prochains concerts :
22/05 La Bouche d’Air – Salle Pannonica – Nantes (44) Release Party
23/05 Les Copains D’abord – Salbris (41)
14/06 La Cantine du Voyage – Nantes (44)
07/08 La Station Nuage – Nantes (44)
16/08 Le Petit Poucet – St Léon (63)
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