Trois EP, trois couleurs: l’œil rivé sur la marmite sociale, le rappeur lyonnais Millésime K sulfate les dogmes progressistes qui ont transformé l’or français en plomb.
Ce premier et dernier album échoit à la pire des places, derrière Rage Against The Machine (1992) et ses pâles copies Evil Empire (1996) et The Battle Of Los Angeles (1999).