Extrapolant une légende du XVIIème siècle sur le suicide d’un couple dans “l’abîme des amoureux”, Ryo Minenami propose un seinen (manga pour adulte) à la sensibilité très féminine.
Mademoiselle Saori, avatar aux longs cheveux prune de la déesse Athéna, protège la Terre des forces du mal avec ses quatre chevaliers de bronze… plus le chevalier Phénix.
Mochito Bota marche sur des œufs: son récit chaotique, rythmé par d’honnêtes dessins parfois abâtardis par Photoshop, ne nous emporte que très tardivement…
Ce premier guide illustré d’une série de quatre est la version française du Chōzenshū 1 japonais de 2013, lui-même condensé des Daizenshū 2 (l’histoire) et 4 (le monde) de 1990.
Ce tome 2 estampillé Hokage fournit en bonus la topographie précise des lieux et égrène avec un certain second degré les travaux avortés du mangaka Masashi Kishimoto.
Le prérequis de ce tome avancé de Dragon Ball Super ne consiste guère qu’à connaître dans ses grandes lignes l’histoire des deux guerriers Saiyans Son Goku et Vegeta.
Fire Force est un manga shônen à procédé narratif nekketsu – “sang chaud” en japonais – où le jeune orphelin Shinra Kusukabe transcende sa condition par son héroïsme.
Asa Asada a sauvé la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Tokyo du 10 octobre 1964. Depuis, l’adolescente de 17 ans est missionnée pour assurer la sécurité intérieure du pays.
Si le trait sombre de Gou retranscrit la froideur des univers torturés de H.P. Lovecraft, il peut aussi rebuter les intégristes du réalisme dans la BD.
Deux touristes survivalistes tenaillées par la faim, Yôko et Airi, refont le road trip de la sœur de Yôko en Yamaha Serow 225 et font feu de toute nourriture lyophilisée.
Prévue en quatre tomes, cette dark fantasy plutôt addictive a le défaut de son (petit) format: la faible lisibilité des scènes de bataille en noir et blanc.