La sélection de PARIS-MOVE: la tournée européenne 2018 de Femi Kuti.
Après la sortie de son album One People One World, Femi Kuti est à retrouver en tournée européenne. Lancée par une fiévreuse semaine de Felabration au New Afrika Shrine à Lagos au Nigeria, Femi Kuti est de retour en Europe dès le 26 octobre 2018. Cette tournée One People One World passe, entre autre, par Bruxelles, Grenoble, Perpignan, Amsterdam, Lausanne, Lyon, Berlin, Barcelone…
Crée par Fela, l’Afrobeat a poussé plusieurs générations de musiciens à utiliser, au Nigeria et dans le monde, la musique comme arme pour se battre pour la justice et la liberté. Femi et son groupe, Positive Force, sont à la pointe de ce mouvement, en élargissant continuellement le vocabulaire de la musique, en ajoutant des notes de punk et de hip-hop au son, tout en conservant ces racines traditionnelles et son message politique.
A ne pas rater avec la tournée 2018!
Toutes les dates sont ici, sur PARIS-MOVE!
31/10/2018 – GRENOBLE – L’ilyade
01/11/2018 – FORCALQUIER – Kfé quoi
02/11/2018 – PERPIGNAN – Mediator
03/11/2018 – ANNONAY – Smac 07
05/11/2018 – AMSTERDAM – Concertgebouw
07/11/2018 –LAUSANNE – Onze PLUS
08/11/2018 – LYON – Transbordeur
09/11/2018 – NICE – Théâtre Lino Ventura
10/11/2018 – CHALONS SUR SAONE – Espace des Arts
14/11/2018 – PERIGUEUX – Le sans réserve
15/11/2018 – LA ROCHE SUR YON – Fuzz’On
16/11/2018 – VAUREAL – Le Forum
17/11/2018 – BERLIN – Yaam
21/11/2018 – BARCELONE – Los Caprichos del Apolo
22/11/2018 – MADRID – Mon Live
24/11/2018 – CARTAGENA – CARTAGENA Jazz Festival
Pour écouter le clip de One People One World, cliquez ICI
Femi Kuti est le cœur et l’âme de l’Afrobeat moderne. Crée par Fela, l’Afrobeat a poussé plusieurs générations de musiciens à utiliser, au Nigeria et dans le monde, la musique comme arme pour se battre pour la justice et la liberté. Femi et son groupe, Positive Force, sont à la pointe de ce mouvement, en élargissant continuellement le vocabulaire de la musique, en ajoutant des notes de punk et de hip-hop au son, tout en conservant ces racines traditionnelles et son message politique.
Quand il est à la maison au Nigeria, Femi et son groupe jouent au Shrine, le dancehall et l’espace de concert qu’il a construit en souvenir de son père. Le club est l’œil de la tempête mondiale de l’Afrobeat, un lieu de rassemblement pour les fans, un lieu de ralliement pour les activistes et les danseurs.
One People, One World voit Femi revenir aux racines africaines de la musique. Des notes de reggae, de highlife, de soul, de R & B et d’autres saveurs africaines, caribéennes et afro-américaines tournent à travers le mélange, ajoutant de la profondeur et de la complexité aux arrangements, mais les influences ne dérangent pas le son caractéristique de Femi: “Quand j’étais petit, j’écoutais du funk, du highlife, du jazz, des chansons folkloriques, de la musique classique et des compositions de mon père, donc vous entendez ces choses dans la musique, mais tout sur cet album vient strictement de mon cœur et de mon âme. Comme l’Afrique elle-même, Afrobeat a des possibilités infinies dans sa structure. Comme nous jouons en live au Shrine, les chansons évoluent, absorbant l’énergie du public. C’est comme peindre, avec les teintes changeantes et les tons des danseurs qui colorent la musique. Quand nous l’emmenons en studio, vous entendez toutes ces influences bouger ensemble.”
Femi a enregistré la majeure partie de l’album à Lagos, avec les musiciens de Positive Force, et son fils, Omorinmade Anikulapo – Kuti: “Mon fils, Made, étudie la musique en Angleterre au Trinity College, au même endroit que son grand-père Fela Kuti, et a joué du piano et de la basse sur de nombreuses chansons de l’album”, explique Femi. “Sa contribution a apporté une intimité aux sessions. Avoir joué avec moi et me donner des conseils sur les arrangements, c’était très agréable”.
One People, One World est un plaidoyer pour l’unité mondiale, avec un appel et une réponse entre la section de cuivre et la voix sincère de Femi. La guitare soukous ondulante d’Awomolo Opeyemi, la ligne de basse reggae d’Andrew Aghedo et la batterie crépitant d’Ayodele Alaba ne font que sublimer ce titre: “C’est un air de danse simple,” dit Femi. “Quand vous regardez ce qui se passe en Afrique, en Europe et en Amérique, il est important de garder le rêve de l’unité en vie.”
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