C’était une nouvelle soirée de folie qui était annoncée au Pitchtime d’Alain Sabbatier et cela n’a pas manqué, le caviar du Blues et du Rock étant bel et bien au rendez-vous. D’ailleurs ce groupe pourrait presque changer de nom tant l’énergie déployée sur scène est bien plus proche du SURVOLT que de l’IN VOLT. Ces quatre là ont vraiment les doigts dans la prise et je me régale crescendo à chaque fois que j’ai le bonheur de les voir sur scène. La progression musicale est constante et le show toujours aussi délirant. La salle du Pitchtime était très bien remplie, avec même des amateurs venus de loin, et le combo qui avait pourtant joué la veille nous a encore gratifiés de superbes moments.
La mise en scène est comme toujours, soignée, avec quelques guirlandes lumineuses au sol qui nous rappellent que Noël est proche, et une superbe banderole IN VOLT déployée derrière la batterie de Jeff. Le haut de forme noir et sa plume rouge vif de même que le boa en plumes rouges et noires sont accrochés au micro et n’attendent plus que le chanteur, l’homme à la redingote lie-de-vin. Et il ne va pas se faire prier, le Enton, pour nous embarquer dans ses délires scéniques, avec une énorme bagouse au doigt. Le premier à en faire les frais sera Rony qui va voir le boa de son frangin venir lui couvrir les yeux en plein solo de gratte! Qu’importe, il lui en faut bien plus que ça pour le perturber. Un peu plus tard, c’est le chapeau qui va passer de tête en tête, de Rony à Jeff en passant par Lino. Les titres s’enchaînent et c’est déjà la pause. Cela fait 55 minutes que ça joue et le temps est passé à une vitesse incroyable tant on est pris par le spectacle offert. D’ailleurs ce premier set se termine avec un ‘Come on in my kitchen’ supersonique sur lequel les frères Gauthier et Lino vont fêter l’anniversaire de Jeff en le noyant sous les jets de plusieurs bombes de fils ‘spaghettis’.
Après une petite pause ’25 centilitres’, on reprend avec une ‘exclu’ du prochain album, le titre ‘Small House’. Un morceau qui démarre plutôt tranquillement avec les arpèges de Jérôme, mais qui va très rapidement monter en pression. Je ne vous dis que ça, venez donc le découvrir en live!
D’ailleurs on ne va pas cesser de grimper et grimper encore vers des sommets d’énergie et de Rock’n’Roll avec des titres du dernier album et des reprises fameuses, comme AC/DC bien sûr, mais aussi un Creedence absolument monstrueux, ‘Born on the Bayou’. Même pour les titres réputés bien plus calmes, comme le superbe ‘Come back with me’ du premier album, on va trouver des passages à fond de 6ème où Jérôme va lâcher les chevaux.
Et tout cela va nous emmener vers un final duquel il sera difficile de redescendre. Avec trois titres plus pêchus les uns que les autres, ‘Boogie Man’, puis ‘Bang Bang’, avec un gros son de basse comme on les aime et sur lequel le public se régale, reprend les chœurs et va applaudir à tout rompre ce morceau très attendu, et le ‘Born to be wild’ de Steppenwolf, magistral, qui là aussi va faire chanter la salle, debout. Ceci dit, si ce titre doit désormais clôturer les rappels des prochains concerts, je suggère que le groupe fasse venir un gros cube sur scène, histoire d’être parfaitement raccord avec le film! Et puis j’avoue que l’idée de voir Enton sur un Chopper Harley façon B.B. me réjouit d’avance.
Attention, car ce groupe va incontestablement devenir incontournable sur la scène Rock tant il en a sous la pédale, et les IN VOLT ne sont visiblement pas près de s’arrêter! Sont vraiment ‘born to be wild’…!
C’était une nouvelle soirée de folie qui était annoncée au Pitchtime d’Alain Sabbatier et cela n’a pas manqué, le caviar du Blues et du Rock étant bel et bien au rendez-vous. D’ailleurs ce groupe pourrait presque changer de nom tant l’énergie déployée sur scène est bien plus proche du SURVOLT que de l’IN VOLT. Ces quatre là ont vraiment les doigts dans la prise et je me régale crescendo à chaque fois que j’ai le bonheur de les voir sur scène. La progression musicale est constante et le show toujours aussi délirant. La salle du Pitchtime était très bien remplie, avec même des amateurs venus de loin, et le combo qui avait pourtant joué la veille nous a encore gratifiés de superbes moments.
La mise en scène est comme toujours, soignée, avec quelques guirlandes lumineuses au sol qui nous rappellent que Noël est proche, et une superbe banderole IN VOLT déployée derrière la batterie de Jeff. Le haut de forme noir et sa plume rouge vif de même que le boa en plumes rouges et noires sont accrochés au micro et n’attendent plus que le chanteur, l’homme à la redingote lie-de-vin. Et il ne va pas se faire prier, le Enton, pour nous embarquer dans ses délires scéniques, avec une énorme bagouse au doigt. Le premier à en faire les frais sera Rony qui va voir le boa de son frangin venir lui couvrir les yeux en plein solo de gratte! Qu’importe, il lui en faut bien plus que ça pour le perturber. Un peu plus tard, c’est le chapeau qui va passer de tête en tête, de Rony à Jeff en passant par Lino. Les titres s’enchaînent et c’est déjà la pause. Cela fait 55 minutes que ça joue et le temps est passé à une vitesse incroyable tant on est pris par le spectacle offert. D’ailleurs ce premier set se termine avec un ‘Come on in my kitchen’ supersonique sur lequel les frères Gauthier et Lino vont fêter l’anniversaire de Jeff en le noyant sous les jets de plusieurs bombes de fils ‘spaghettis’.
Après une petite pause ’25 centilitres’, on reprend avec une ‘exclu’ du prochain album, le titre ‘Small House’. Un morceau qui démarre plutôt tranquillement avec les arpèges de Jérôme, mais qui va très rapidement monter en pression. Je ne vous dis que ça, venez donc le découvrir en live!
D’ailleurs on ne va pas cesser de grimper et grimper encore vers des sommets d’énergie et de Rock’n’Roll avec des titres du dernier album et des reprises fameuses, comme AC/DC bien sûr, mais aussi un Creedence absolument monstrueux, ‘Born on the Bayou’. Même pour les titres réputés bien plus calmes, comme le superbe ‘Come back with me’ du premier album, on va trouver des passages à fond de 6ème où Jérôme va lâcher les chevaux.
Et tout cela va nous emmener vers un final duquel il sera difficile de redescendre Avec trois titres plus pêchus les uns que les autres, ‘Boogie Man’, puis ‘Bang Bang’, avec un gros son de basse comme on les aime et sur lequel le public se régale, reprend les chœurs et va applaudir à tout rompre ce morceau très attendu, et le ‘Born to be wild’ de Steppenwolf, magistral, qui là aussi va faire chanter la salle, debout. Ceci dit, si ce titre doit désormais clôturer les rappels des prochains concerts, je suggère que le groupe fasse venir un gros cube sur scène, histoire d’être parfaitement raccord avec le film! Et puis j’avoue que l’idée de voir Enton sur un Chopper Harley façon B.B. me réjouit d’avance.
Attention, car ce groupe va incontestablement devenir incontournable sur la scène Rock tant il en a sous la pédale, et les IN VOLT ne sont visiblement pas près de s’arrêter! Sont vraiment ‘born to be wild’…!
